Theophilius De Crac
Theophilius de Crac est né à Yris il y a maintenant de nombreuses années. Il a étudié auprès des meilleurs magiciens de l’Académie. Fait notable, il a perdu un œil dans une mauvaise manipulation. Son enseignement a été dispensé par Qui-Gon, dit «le perché», un maître dans la théorie de la magie. Les académiciens n’appréciaient guère Qui-Gon, principalement dû à ses discours trop honnête sur la place des hommes dans le monde. À la mort de son maître spirituel, Theophilius décide d’accomplir la dernière volonté de son maître : répandre ses cendres au coeur du royaume des fleurs, dans un endroit rayonnant l’énergie naturelle. Et part la même occasion il prend congé de son poste d’académicien, ayant désormais l’envie de passer à la pratique de la magie. Il avouera plus tard sont désaccord avec les pensées et méthodes de l’Académie.
Ainsi commence son histoire de vagabond et d’apprenti magicien. Sur la route il rencontrera des compagnons de voyages qui resteront gravés dans sa mémoire: l’illustre Ancalagon, dit «le vieux», le fameux maître Bourdoul, dit «le filou», le regretté Icarus parti trop tôt dans les Eyréies, ainsi que la mystérieuse rebelle Mickaëlla, qui lui aurait inspiré certains essais humanistes. Bien sûr d’autres rencontres ont forgé sa destinée...
Ayant eu des rapprochements humanistes, et donc de légers soucis avec l’ordre draconique, Theophilius a disparu, officiellement mort.
Maintenant passons à l’histoire de De Crac le Borgne, qui n’est pas du tout la même personne. De Crac est un magicien qui a connu certaines réussites, surtout dans les situations critiques. Il semble avoir une bonne connaissance de la magie, mais c’est une pure coïncidence. Il sillonne le pays en restant discret. D’aucun le décriront assez mystérieux, et ayant sans doute des relations humanistes. Encore une coïncidence malheureuse...
Malgré cela il reste de bonne compagnie, notamment dû a ses bonnes manières et la sérénité qu’il diffuse. Ses compagnons l’appelle De crac, ou le Borgne, ou alors ils mixent les deux : Crac B (à prononcer krak bi).